Kivousavé, on n’en parle qu’à mots couverts, à l’heure du thé.
Kivousavé, c’est la mère de la narratrice, disparue de sa vie quand elle avait deux ans, la laissant à son père et à sa grand-mère paternelle, la Vieille.
En apprenant que, contrairement à ce qu’on lui avait dit jusque-là, sa mère n’était pas morte, la narratrice décide de découvrir pourquoi elle est partie, ce qu’elle est devenue. Elle se met à lui écrire une longue lettre, une lettre qu’elle lui remettra quand elle l’aura retrouvée - si elle la retrouve un jour.